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Benoît Markwalder

Vice-président du Conseil

Père d’un enfant sourd de naissance, Benoît Markwalder découvre le LPC en 1992. Sur son chemin, le hasard place Henri Delafontaine qui le convainc que l’intégration dans le monde majoritaire des entendants passe par l’oralisation. 

L’appropriation de la langue, de l’écriture et de la lecture deviennent les objectifs principaux du projet éducatif de son enfant. 

Le processus d’apprentissage du LPC étant enclenché, toute la famille découvre l'ALPC au travers de stages et de week-ends, ainsi que de groupes de code régionaux.

Le dynamisme associatif bénévole l'encourage à prendre des responsabilités. 

L’animation d’un groupe régional d’apprentissage du LPC et l’organisation de week-ends de stage lui permettent de mieux saisir les besoins. 

En 2000, Benoît est convaincu de la nécessité de faire évoluer l’association vers une structure plus professionnelle. Il participe avec enthousiasme à la création de la Fondation a capella. 

Probablement pas totalement consci-ent des défis à affronter, il essaye depuis toujours de défendre les intérêts des jeunes sourds et malentendants afin qu’ils bénéficient du meilleur soutien possible dans leur projet d’intégration. 

Au vu des résultats qu’il constate aujourd’hui, Benoît Markwalder ne peut qu’encourager chaque parent à porter le projet éducatif de leur enfant afin d’atteindre les objectifs d’intégration qu’ils se sont fixés. Le LPC est certainement un très bon moyen d’aide pour y parvenir.